Coup de cœur : Pax et le petit soldat
Un roman d’aventures d’une intensité bouleversante
Pax et le petit soldat est un roman de 300 pages environ paru en 2016 aux États-Unis et en mars 2018 pour la traduction française. Il est écrit par Sara Pennypacker et traduit par Faustina fiore. Il est illustré par Jon Klassen et a été consacré meilleur roman jeunesse 2016 par le Publishers Weekly. Il est paru aux éditions Gallimard Jeunesse.
Résumé :
Un garçon
et son renard
que la vie sépare,
l’histoire d’une
indéfectible amitié.
La guerre est imminente.
Lorsque le père de Peter
son fils à abandonner Pax,
le renard qu’il a élevé depuis
son plus jeune âge, et envoie
le garçon vivre chez son grand-père
à cinq cents kilomètres de là.
Mais Peter s’enfuit, à la recherche
de son renard.
Pendant ce temps, Pax affronte
seul les dangers d’une nature sauvage
et se trouve confronté à ceux
de son espèce.
Une voix d’auteur superbe
à l’écriture cristalline et âpre,
magnifiquement servie
par les illustrations de Jon Klassen.
Biographie de l’auteure :
Sara Pennypacker est américaine. Elle partage son temps entre le Massachusetts et la Floride. Elle est l’auteur de plus d’une quinzaine de livres, dont la série Clémentine qui a connu un succès international. Dès sa publication aux États-Unis, Pax et le petit soldat devient un événement littéraire, sélectionné comme meilleur roman 2016 par le Publishers Weekly, et figurant l’année entière dans la liste des best-sellers (Fiction Jeunesse) du New York Times.
« Pax et le petit soldat est le livre de ma vie, dit-elle de ce roman. C’est mon plus grand défi, depuis le début de sa lente germination. »
Biographie de l’illustrateur :
Jon Klassen est l’un des artistes les plus novateurs d’aujourd’hui. Il a reçu de prestigieuses récompenses (Caldecott Medal et Greenaway Medal) pour sa célèbre série d’albums Je veux mon chapeau, On a trouvé un chapeau et Ce n’est pas mon chapeau. Né au Canada, il vit maintenant à Los Angeles, aux États-Unis.
J’ai eu un peu de mal à me lancer dans la lecture de ce roman, mais une fois lancée, j’ai beaucoup apprécié. J’aime beaucoup les quelques illustrations de John Klassen, c’est de plus en plus rare quand on grandit d’avoir des romans illustrés.
Ana
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